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Le Prunellier

« Entends le chant des trains, et les cris d’une Reine des Neiges en furie, et le bruissement des arbres hybrides. Écoute les prières fiévreuses d’une dame d’hiver en péril, l’écho d’un bec de corneille qui cogne à la fenêtre, le bruit sourd d’un corps chutant d’un gratte-ciel. Écoute le silence des mondes qui s’entrechoquent, et le vacarme d’une graine qui grandit, bien cachée sous le bitume… »   Le Prunellier est un vaste univers fantasy comprenant le roman L’Épine Noire (en cours de rédaction), et le recueil de nouvelles Le Rêve du Prunellier.   En savoir plus

L’emblème des Voyageurs

Un petit billet hors-sujet pour aujourd’hui, parce que j’ai reçu un petit trésor que j’attendais depuis longtemps… Mon pendentif onirographe !

Mon logonirographe, c’est un peu plus qu’un logo (exécuté par mon chéri), c’est un élément important de mes histoires : dans L’Épine Noire (projet de roman reprenant Le Rêve du Prunellier), il s’agit du nom que l’on donne à l’appareil inventé par le maître Isarius de Mahéra. L’invention a été bien trop tôt présentée au public à cause de l’excès de zèle de Pietr, l’assistant aux dents longues d’Isarius, et le nom retenu n’aurait jamais dû être celui-ci. Car l’onirographe, contrairement à ce que l’on croit, n’est pas un gadget pour riches qui leur permet de «  dessiner des rêves  » comme ils le souhaitent  ; en réalité, l’invention d’Isarius permet à ceux qui possèdent le vrai don des rêves d’utiliser leur pouvoir sans avoir à dormir et sans laisser leur corps physique derrière eux.

L’emblème a mis longtemps avant de trouver sa forme définitive (qui n’est pas celle du pendentif, vous verrez plus bas). Au départ, j’ai voulu créer l’appareil en question en m’inspirant des astrolabes, des montres et des boussoles. J’ai bidouillé quelques trucs sur Photoshop pour arriver à un compromis qui me plaisait plutôt (ce qui est drôle, c’est que je bidouillais ce truc en regardant Forever quand ça passait sur TF1. Du coup, à chaque fois que je travaille avec mon logo, je pense à Ioan Gruffudd (ce qui n’est pas forcément désagréable, vous en conviendrez)).

Ligne du haut  : l’appareil tel que je l’imaginais dans sa version dessinée, puis la version au trait.
Ligne du bas : le premier logo réalisé à partir des dessins du dessus, qui a été présent sur le site pendant quelques années. Enfin, la version définitive et jolie faite par mon chéri.

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