« Je marche au même pas, face aux éléments, comme si ceux-ci cherchaient à tout prix à se mettre en travers de mon chemin. Un goût de métal rouillé s’ajoute à celui de la pluie, presque un sanglot coincé dans la gorge. »
Piégée dans ses propres rêves, Lili n’a pas d’autres choix que de s’y confronter, d’affronter l’amertume de ses souvenirs et de ses propres deuils.
· Cette nouvelle (écrite en 2004 !) a été publiée en 2013 sous le nom de Un goût de pluie et de rouille dans mon recueil auto-publié Le Rêve du Prunellier (épuisé). Elle est disponible en version entièrement remaniée & corrigée dans le recueil auto-publié Fêlures (2015).
· Elle fait suite à L’attrape-rêves et est suivie de La Boussole ; la lecture peut être complétée par la nouvelle La balade des marcheurs de rêves, ainsi que le roman Onirophrénie.
· La photo de couverture a été réalisée par l’autrice.